ARRIVEE EN FLORIDE
Samedi matin 15 septembre, jour de mon départ j’ai tourné en rond avant que de me retrouver enfin dans le Roissybus tout en nage. C’est lá que je me suis rendu compte que vivant á Paris et travaillant á 15 minutes de mon travail sans changement de ligne par le métro et en ligne directe par le bus, j’étais excessivement privilégiée au point de ne plus penser aux changements, aux heures de pointe du traffic, au calcul du temps nécessaire pour se render d’un point a un autre, etc… J’avais oublié combien circuler dans
Catherine qui a le badge lui permettant de circuler sous douane dans toutes les zones de Roissy était venu me souhaiter un bon voyage et m’accompagner jusqu’á
Et puis, une fois á bord, il y a eu l’attente, une heure ! Le camion qui devait pousser l’avion qui était derrière nous avait une panne de moteur. Le retard n’a jamais pu être complètement comblé.
Passer le contrôle á l’immigration d’Atlanta, enlever les chaussures après avoir dénouer les lacets de mes espadrilles, les relacer, récupérer ma valise, re-retirer mes espadrilles, les remettre pour passer le contrôle pour sortir avec le baggage, le réenregistrer pour le vol sur Jacksonville et á chaque fois faire la queue et attendre. Au final prendre l’ascenceur puis le train pour le terminal ‘Q’ qui, naturellement, ne peut pas être le premier ni le deuxième arrêt mais le cinquième. Grrrr et surprise il est moins 1minute de l’heure ou le vol ferme quand j’arrive enfin déjá exténuée á ce fichu terminal. Je courre jusqu’á
Marche en soufflant comme un boeuf jusqu’au comptoir de la compagnie pour récupérer un voucher pour passer la nuit dans un hôtel d’Atlanta, m’enregistrer sur un vol matinal á 7h30 et demander d’envoyer un message á mon fils qui m’attends á l’arrivée á Jacsonville.
C’est donc munie de mon sac á main que j’ai passé une nuit très, très courte puisque par peur de ne pas être réveillée par le veilleur de nuit á 5h30, je n’ai quasiment pas fermé l’oeil de la nuit. Et j’ai bien fait car l’information n’avait pas suivie tout comme le message qui avait été envoyé par l’hôtesse n’a jamais été transmis au fiston. C’est pourquoi j’ai été très surprise, et très contente, de l’entendre au bout du fil, á 22 heures, qui s’inquiétait de savoir si j’avais un problème á l’immigration.
Bon, le dimanche matin tout était ok. J’avais récupéré mon fils, ma belle-fille et ma valise. Les vacances pouvaient commencer.
Voici donc quelques vues du condominium ou je profite chaque matin de la piscine que j’ai pour moi toute seule, les résidents étant au travail. Un véritable luxe pour moi.
A bientot
Josee
le lac